Méfaits et Bienfaits de l'Absentéisme (2024)
Clotaire Mouloungui
Le terme absentéisme paraît compréhensible par tous, même par un écolier. En réalité, il revêt plusieurs acceptions au regard de ses causes et de ses auteurs. Or sans beaucoup de nuance, des commentateurs politiques, ou économiques, ou médiatiques, lui prêtent des conséquences forcément négatives. Il s’agit de leur part d’une vision trop sombre et excessive des choses.
Car l’absentéisme se révèle parfois neutre. Mieux, il procure éventuellement des bienfaits à la personne absentéiste, ainsi qu’à divers agents économiques dont l’activité se justifie alors. Un tel résultat insolite s’envisage surtout dans l’esprit du juriste, ou de l’administrateur, ou du gestionnaire, ou plus généralement de l’humaniste ‘’honnête homme’’ de notre siècle.
L'absentéisme dans les formations (2024)
Clotaire Mouloungui
Chacun est invité par son intelligence et par le droit à acquérir, entretenir et/ou perfectionner ses connaissances. Il convient de s’y atteler tout au long de la vie comme élève, étudiant, apprenti, alternant, stagiaire, etc. Du reste, un long retour aux études s’impose aux personnes qui, dans leur jeunesse, se seront quasiment montrées allergiques à la fréquentation régulière des bancs d’écoles. Aussi ces partisans-là de l’école buissonnière (absentéisme scolaire) auront-ils ensuite emprunté de rudes chemins socioprofessionnels pavés d’échecs divers (Section 1).
Plus généralement, l’inassiduité chronique d’apprenants semble de nature à mettre autrui dans un embarras plus ou moins grand (Section 2). Certes, il apparaît excessif de rejeter tous les torts, et donc tous les méfaits de l’absentéisme, sur les (seuls) déserteurs des lieux de formation. Car l’institution (le professeur) doit y prendre sa part ; et l’absentéiste pourrait avancer des excuses liées à sa propre personne (Section 3).
Les trois points énoncés font l’objet d’une dissertation à dominante juridique ; mais dont l’accès est facilité par un index alphabétique et une table des matières. Le lecteur pourrait par ailleurs examiner les sources sur lesquelles se fonde l’ouvrage en se référant à la bibliographie jointe
Absentéisme et climat social (2024)
Clotaire Mouloungui
Le collectif de travail comprend à la fois les travailleurs, les managers, et sans doute aussi le directeur. En tous cas, les uns et les autres y coopèrent classiquement en bonne intelligence. Sauf peut-être lorsque, par exemple, un absentéisme en vient à dégrader le climat social. Dans quelle mesure cependant, et les règles de droit du travail trouvent-elles à s’appliquer ? D’ailleurs, que convient-il d’entendre par climat social ? Le présent livre ambitionne d’offrir les éléments permettant à chacun de répondre de façon claire et complète à ces interrogations.
Du reste, il est vraisemblable qu’à cette occasion le lecteur découvre les retombées plus ou moins accidentelles d’un absentéisme. Un tel résultat, à l’évidence insolite, s’imposera surtout à l’esprit du juriste, ou de l’administrateur, ou du gestionnaire, ou plus généralement de l’humaniste ‘’honnête homme’’ de notre siècle.
Responsabilités et indemnités (2024)
Clotaire Mouloungui
Dans notre République progressivement gagnée par ‘’le retour à l’autorité’’, les situations d’absentéisme entraîneront bientôt une sévérité certaine. Ainsi, du point de vue pécuniaire, sans doute s’ensuivra-t-il plus souvent un appauvrissement du personnel qui manquerait à son devoir d’assiduité au poste de travail.
Concrètement, à son manque à gagner en aides et indemnités publiques (ou sociales), pour maladie et autres, se rajoutera une charge de dommages-intérêts en vue de l’indemnisation des victimes de l’absentéisme déploré. Ces dernières sont notamment l’employeur de l’absentéiste, les clients ou les usagers de celui-là, de même que ses partenaires économiques.
Bref, les travailleurs actionnant leur droit d’arrêt-maladie, de retrait, de grève, de démission, ainsi que ceux sans excuse (valable) d’absence, risquent davantage d’en subir des retombées financières ; d’ailleurs, outre la confrontation à d’éventuelles sanctions disciplinaires
L'absentéisme dans les métiers du care ou du soin (2024)
Clotaire Mouloungui
Certains métiers semblent être exercés par vocation altruiste. Tel serait le cas des ‘’métiers du care’’, une expression anglaise qui résonne en homophonie avec les ‘’métiers du cœur’’. Il s’agit pour les professionnels concernés de se préoccuper et de s’occuper du bien-être ou de la santé d’autres personnes. Sachant que ces dernières peuvent être des malades, des vieillards ou des enfants. L’utilité et la noblesse apparente d’une pareille activité de soins constants à autrui ne semble pas compatible avec un absentéisme. Pourtant, il s’y rencontre beaucoup. Pourquoi donc, et quelles conséquences en découlent alors ? Le présent livre ambitionne de répondre à ces questions.
Si tout ‘’honnête homme’’ devrait pouvoir l’ouvrir simplement pour s’élargir son horizon intellectuel, en revanche d’autres lecteurs s’y plongeront dans une perspective opérationnelle et utilitaire. Le cas échéant, ceux qui sont le plus susceptible d’en tirer profit sont : les élus locaux (superviseurs des garderies, des EHPAD et des hôpitaux) ; les usagers (dénonciateurs de l’absentéisme) ; les syndicalistes (défenseurs des absentéistes) ; ainsi que les déserteurs du travail, eux-mêmes.
Cet opuscule de Droit et GRH s’inspire très abondamment de notre ouvrage doctoral (https://dcs.univ-nantes.fr/fr/accueil/avis-de-soutenance-clotaire-mouloungui-labsenteisme-et-ses-inconvenients-pretendus). Il s’agit d’une sorte de traité (de plus de 3000 pages, en 10 volumes) sur la disponibilité (c’est-à-dire l’absentéisme et l’assiduité) des travailleurs notamment.
Absentéisme des Décideurs, Hic pour Quorums et Majorités (2024)
Clotaire Mouloungui
Pour l’auteur du livre, les décideurs sont les personnes physiques ou morales qui participent à l’adoption de décisions collectives. Elles agissent de la sorte au sein d’une assemblée générale, d’un conseil d’administration, d’un corps électoral, etc. Lorsque la décision voulue est adoptée sans l’atteinte du nombre minimum de participants prévus (c’est-à-dire le quorum), elle sera nulle ; ou tout au moins annulable, par le juge compétent ; s’il est saisi. Or l’on déplore habituellement un absentéisme de ces décideurs que sont les associés, les sociétaires, les administrateurs, les copropriétaires, les syndicalistes, les conseillers municipaux, les parlementaires, les électeurs, etc. Du reste, même valable en pur droit, une délibération ou une élection semblera parfois contestable. Cette fois du point de vue de la légitimité. Bref, la structure désireuse de la décision se retrouvera souvent dans un certain embarras.
En réaction, l’on pourrait se poser la question de savoir s’il est forcément défendable de donner tant de poids aux absentéistes et aux abstentionnistes. Surtout que la pratique renferme diverses structures ayant un fonctionnement très efficace malgré l’absence de délibérations collectives. En l’occurrence, l’obtention certaine des résultats attendus paraît l’emporter sur la mise en branle de processus démocratiques peut-être gangrenés par l’absentéisme et la mauvaise volonté. L’on peut certes alors craindre d’envisager de soumettre (la volonté souveraine) des décideurs à des limitations ou à des mesures de rétorsion.
Le présent livre examine des cas où l’absentéisme compromet quorums et majorités, et explore parallèlement les solutions actuelles ou éventuelles à ce problème. Il s’inscrit plus généralement dans le cadre d’un traité (de 3000 pages, en 10 volumes), sur la disponibilité (absentéisme et assiduité) des travailleurs et autres. Ce traité aura d’abord revêtu la forme doctorale (https://dcs.univ-nantes.fr/fr/accueil/avis-de-soutenance-clotaire-mouloungui-labsenteisme-et-ses-inconvenients-pretendus ).
La dégradation du climat social: par le sous-effectif dû au personnel (Droit et GRH) (2024)
Clotaire Mouloungui
Le collectif de travail comprend à la fois les travailleurs, les managers et, sans doute aussi, le directeur de la structure concernée. En tous cas, c’est en bonne intelligence que, classiquement, les uns et les autres y coopèrent. Sauf peut-être lorsque, par exemple, un absentéisme en vient à dégrader le climat social. Dans quelle mesure cependant, et les règles de droit trouvent-elles à s’appliquer au sous-effectif apparu ? D’ailleurs, que convient-il d’entendre par climat social ? Le présent livre ambitionne d’offrir les éléments permettant à chacun de répondre de façon claire et complète à ces interrogations. Sa lecture devrait notamment intéresser les DRH, les syndicalistes, les conseillers prud’homaux, les professeurs de droit social, de sociologie ou de gestion, ainsi que leurs étudiants respectifs, de même que toutes les personnes œuvrant au sein d’une équipe. Autrement dit tous les travailleurs.
La question de la légitimité des absences au travail et ailleurs (2024)
Clotaire Mouloungui
Sans doute les inconvénients imputés à l’absentéisme correspondent-ils généralement à la réalité. Mais les personnes absentes à l’endroit où elles sont attendues sont-elles alors toujours blâmables ? L’on sait que nombre d’absences s’imposent aux absentéistes ; soit en conséquence de la décision d’une autorité, soit en conséquence d’un autre motif peut-être excusable. De quelles absences s’agit-il en pratique, et faut-il les considérer comme étant légitimes. Notre livre répond à ces diverses questions.
À l’issue de la lecture, c’est probablement avec davantage de recul que le lecteur se prononcera par la suite sur les questions d’absentéisme. Certes, il n’aura pas le même ressenti, selon qu’il sera un juriste, un administrateur, un gestionnaire, ou bien simplement un humaniste ‘’honnête homme’’.
L’ouvrage (publié dans une Collection Gestion Juridique des Ressources Humaines) s’inscrit dans le cadre d’une sorte de traité de 3000 pages, en 10 volumes, sur la disponibilité (absentéisme et assiduité) des travailleurs notamment. Un traité qui aura revêtu la forme doctorale (https://dcs.univ-nantes.fr/fr/accueil/avis-de-soutenance-clotaire-mouloungui-labsenteisme-et-ses-inconvenients-pretendus ).
Ressources livresques sur l’Assiduité (2024)
Christiane Mab MM, Clotaire Mouloungui
La revue de littérature est une pratique courante dans les sciences sociales. Notre livre ambitionne d’y aider en matière de Droit du Travail et de Gestion des Ressources Humaines (GRH). Il consiste matériellement en la réunion des documents à consulter pour d’éventuelles réflexions sur l’Assiduité, ou sur son inverse qu’est l’Absentéisme. Pour ainsi dire, c’est une étape de recherche préalable finalement offerte aux intéressés. Ils n’auront conséquemment plus à la faire, ou bien n’auront qu’à la compléter. Au fond, même la seule lecture des listes fournies apparaît instructive à celui ou à celle qui s’y prête.
Mots GRH des Présences et Absences (2024)
Emmy Isa Devos, Clotaire Mouloungui
Faut-il jamais réinventer la roue ? Réponse : nullement. Car c’est-là un point de départ déjà offert à chacun en vue d’aller (toujours) plus loin. Une sorte d’encyclopédie ayant déjà été rédigée sur l’absentéisme (ou sur son inverse, l’assiduité), réécrire sur le thème nous paraît superflus. En revanche, il semble davantage utile d’aider autrui à accéder à cette mine d’informations, creusée dans son ouvrage doctoral par Monsieur Clotaire Mouloungui : https://dcs.univ-nantes.fr/fr/accueil/avis-de-soutenance-clotaire-mouloungui-labsenteisme-et-ses-inconvenients-pretendus. C’est l’objet de ce livre.
Concernant la thèse, plusieurs ouvrages en ont découlé en 2024 ; chez l’éditeur DIDACTIJURIS. Ils sont distribués par AMAZON notamment. En voici la liste : **La dégradation du climat social par le sous-effectif … ;
**La question de la légitimité des absences au travail et ailleurs ;
**Responsabilités et Indemnités en matière d’absentéisme ;
**Méfaits et Bienfaits de l’Absentéisme.
Le lecteur qui ne serait pas en mesure de se les procurer pourrait au moins recourir à la consultation de la thèse en bibliothèque universitaire. Grâce à ce livre, chacun peut d’ores et déjà en avoir un aperçu, par renvois aux paragraphes où les notions essentielles sont exposées. Celles-ci représentent environ 400 entrées. En d’autres termes, presque tous les mots-clefs raisonnablement envisageables (à l’examen du contenu de la thèse) y figurent. En pratique, c’est un regroupement bipartite qui est généralement retenu. Le principal est celui en sections. L’une renferme les entrées de A à H (Section 1) ; et l’autre, les entrées de I à V (Section 2).
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